Début ce jeudi 1er septembre 2022 de la session ordinaire de l’examen national de fin d’études professionnelles. Dans la province de Lomami, c’est le Ministre des infrastructures, travaux publics et reconstruction qui a donné le go à ces épreuves, à l’Institut professionnel KIFULO de Kabinda.
PubliciteDans son allocution de circonstance, le ministre des ITPR, Louis Nkishi, représentant personnel du Gouverneur Nathan ILUNGA, a invité tous les candidats à une ferme détermination.
«J’invite tous les candidats à un travail personnel. Celà, avec une ferme détermination d’atteindre l’objectif final c’est-à-dire ; l’obtention d’un diplôme professionnel. Sur ce, je lance officiellement la passation de la session ordinaire de l’examen national de fin d’études professionnelles édition 2022, sur toute l’étendue de la province de lomami», a-t-il déclaré.
Peu avant le lancement officiel, Victor Tshinuishi, en sa qualité d’Inspecteur principal provincial a, d’entrée de jeu, remercié toutes les autorités inclues dans l’organisation de ces épreuves puis, fait savoir que le diplôme issu de la formation professionnelle aide les détenteurs à l’auto prise en charge et à s’insérer facilement sur le marché d’emploi. Il a, par la même occasion, émis le vœu de voir tous les candidats réussir.
« Ce diplôme aidera les candidats à s’insérer facilement sur le marché d’emploi, soit en se faisant embaucher, soit en créant leurs propres activités. Aujourd’hui, Montrez votre compétence car l’examen est très facile. En fin, mon vœu est de voir tous les candidats réussir », a-t-il souhaité.
Pour sa part, le directeur provincial de la FPAM, Ir Lubo a exhorté les finalistes de sa juridiction à braver la peur et la panique.
Signalons que sur toute l’étendue de la province éducationelle de lomami, 431 candidats répartis dans 11 centres ont pris part à ces épreuves de trois jours. Sur 13 centres que compte la division provinciale de la FPAM/Lomami, 11 ont accueilli des candidats et 2 autres ne les ont eu. Il s’agit notamment du centre de Ngandajika et celui de Wikong.
Martin KASONGO/correspondant
